Je n'avance pas beaucoup dans "du côté de chez Swan', pourtant je n'ai pas allumé ma télé depuis 5 jours mais je sais même pour être honnête que je suis trop de temps soit sur mon téléphone soit sur ma tablette. Je crois qu'il y a une fonction pour limiter le nombre de visionnage par jour. Bref en gros, il faut que je lise plus (plus que la moyenne des français et ce matin n'ayant pas envoyé mon téléphone au lavomatic de Auray j'ai pu lire pendant 1h à peu près et je vais citer ici la page 59 pour comprendre la généalogie de la famille :
"La cousine de mon grand-père - ma grand'tante - chez qui nous habitions, était la mère de cette tante Léonie qui, depuis la mort de son mari, mon oncle Octave, n'avait plus voulu quitter, d'abord Combray, puis à Combray sa maison, puis sa chambre, puis on lit ne "descendait" plus, toujours couchée dans un état incertain de chagrin, de débilité physique, de maladie, d'idée fixe et de dévotion."
Page 65 on en apprend sur la gouvernante Françoise.
"Elle (la maman du narrateur) avait deviné que Françoise n'aimait pas son gendre et qu'il gâtait le plaisir qu'elle avait d'être avec sa fille, avec qui elle ne causait pas aussi librement quand il était là. Aussi, quand Françoise allait les voir, à quelques lieues de Combray, maman lui disait en souriant :" N'est ce pas, Françoise, si Julien a été obligée de s'absenter et si vous avez Marguerite à vous toute seule pour toute la journée, vous serez désolée, mais vous vous ferez une raison ?"
Je mets ce passage sur Françoise car c'est sans doute la seule partie du roman où l'on apprend des choses sur sa fille et son prénom. Mais il y a tant à dire sur Françoise, elle mériterait une thèse.
Colin B, lecteur potentiel
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